Idle, No More: Defining a planner's role when civic protest erupts
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Authors
Syvixay, Jason
Issue Date
2018-03
Type
Article
Language
en
Subject
Alternative Title
Abstract
In Winnipeg, Indigenous activists are finding
and/or creating new opportunities to meet in
public space to discuss civic issues like safety,
inclusion, and the right to land. Through
physical resistance (i.e, occupying public
space through blockades, protest, and public
demonstrations), Indigenous activists have
begun to make known their varying political,
economic, and social struggles, in many
cases rallying both public and media support
to affect and create neighbourhood change.
This article summarizes findings from
Syvixay’s thesis, “Where They Meet:
Indigenous Activism and City Planning
in Winnipeg, Manitoba,” with lessons
for planners and others. Instead of
maintaining a critical distance from these
demonstrations, which can often create
feelings of alienation within the Indigenous
community, planners, and others could view
these public actions as offering opportunities
for feedback, dialogue, and change.
Des militants autochtones de Winnipeg trouvent ou créent de nouvelles occasions de se rassembler sur des places publiques pour discuter d’enjeux citoyens comme la sécurité, l’inclusion et les droits fonciers. Par des gestes de résistance physique (c. à d. des militants autochtones qui monopolisent des espaces publics par des barrages routiers ou des manifestations, ces militants ont commencé à exprimer leurs difficultés sur le plan politique, économique et social. Bien souvent, ils gagnent à leur cause des appuis du public et des médias qui ont une incidence et amènent des transformations des quartiers. Cet article résume les constatations de la thèse de Syvixay sous le titre « Where They Meet: Indigenous Activism and City Planning in Winnipeg, Manitoba » qui comporte des suggestions pour les urbanistes et autres professionnels. Plutôt que de se tenir à prudente distance de ces manifestations, ce qui peut souvent inspirer aux groupes Autochtones des sentiments d’aliénation, les urbanistes et autres professionnels pourraient voir en ces actions publiques une occasion d’échanges, de dialogue et de changement.
Des militants autochtones de Winnipeg trouvent ou créent de nouvelles occasions de se rassembler sur des places publiques pour discuter d’enjeux citoyens comme la sécurité, l’inclusion et les droits fonciers. Par des gestes de résistance physique (c. à d. des militants autochtones qui monopolisent des espaces publics par des barrages routiers ou des manifestations, ces militants ont commencé à exprimer leurs difficultés sur le plan politique, économique et social. Bien souvent, ils gagnent à leur cause des appuis du public et des médias qui ont une incidence et amènent des transformations des quartiers. Cet article résume les constatations de la thèse de Syvixay sous le titre « Where They Meet: Indigenous Activism and City Planning in Winnipeg, Manitoba » qui comporte des suggestions pour les urbanistes et autres professionnels. Plutôt que de se tenir à prudente distance de ces manifestations, ce qui peut souvent inspirer aux groupes Autochtones des sentiments d’aliénation, les urbanistes et autres professionnels pourraient voir en ces actions publiques une occasion d’échanges, de dialogue et de changement.
Description
Citation
Syvixay, J. (2018). Idle, No More: Defining a planner's role when civic protest erupts. Plan Canada, 58(1), 29-33.
Publisher
Canadian Institute of Planners
License
Journal
Volume
Issue
PubMed ID
ISSN
0032-0544